Contacts :
Église Saint-Martin
Grand’Place
7332 Neufmaison
Sacristain :
FONTAINE Claire
0475/51 97 12
Représentant du clocher :
FONTAINE Claire
Rue de Sglatignies, 10
7332 Neufmaison
0475/51 97 12
Fabrique d'église :
D’HOKER Marcel
Rue de Chièvres, 410
7332 Neufmaison
0498/24 93 46

Histoire :

L'église de Neufmaison
L’église actuelle, qui remplaça l’ancienne chapelle de Notre Dame, fut bâtie en1725, date inscrite au-dessus du portail. Ce sont les religieux de Saint-Amand, en qualité de décimateurs principaux de la paroisse, qui l’ont fait construire ainsi que la cure, mais cette dernière en 1757 seulement. Les plans de l’église avaient été dressés par Dom Alain, architecte-moine de l’abbaye de Saint-Amand. C’est un monument de style renaissance, en briques et pierres de taille avec un soubassement en moellons, la charpente est en chêne. Derrière le chœur, se trouve une pierre sur laquelle on lit : « Loué soit le Saint Sacrement 1732 ». L’auvent, encore adossé au mur extérieur, abritait jadis l’unique calvaire. On aperçoit encore les traces de l’emplacement d’une croix et de chaque côté, celles d’une statuette. C’est probablement la grande croix suspendue aujourd’hui dans le porche de l’église avec deux saints, Marie et Jean. Ceux-ci reposent sur des consoles. Ce calvaire disparut sans doute vers 1850, quand furent édifiés les calvaires Quennesson et D’Antoing. A l’intérieur, l’église mesure en longueur 30 mètres, en largeur, 13 et en hauteur, 11 mètres. Le clocher s’élève à 35 mètres et on accède à la tour par un escalier pratiqué dans la muraille. Les trois cloches de 1821, 1847 et 1897 ont été enlevées par les Allemands en 1943 ! Le premier décembre 1968, deux nouvelles cloches ont été bénites par Monseigneur Himmer. Léon Bastien (+) et Angèle Deligne (+) ont présidé au baptême de la cloche Marie-Mélanie. Adrien Larbouillat (+) et Claudine Géva ont présidé un baptême de la cloche Marie-Hélène. L’église a trois travées, le vaisseau a, jusqu’au chœur, 140 mètres 10 de longueur et ce dernier mesure 9 mètres 50. La largeur du vaisseau est de 12 mètres 50. Les retables des autels sont d’ordre ionique, tandis que les colonnes qui séparent les nefs sont de style toscan. C’est ce que dit l’abbé Petit, ancien curé de Baudour, dans les Annales du Cercle Archéologique de Mons, t. IX, 1869. Mais il faut remarquer que le style toscan de ces colonnes n’est pas pur.
Dans l’entrée de l’église, à gauche dans la loge vitrée, installée en 2006, se trouve un bénitier de style gothique en marbre de Basècles, remarquable par son travail. C’est sans doute un reste de l’ancienne chapelle de Notre-Dame. On n’en voit que cinq faces, le reste est enchâssé dans la muraille. Il porte en son milieu un écu d’or à la fasce (bande posée horizontalement au milieu de l’écu) chargée de trois étoiles à six rais d’argent. C’est le blason de la famille Le Senne. A gauche, la devise de cette famille : «Passer i fault» (il faut passer) ; à droite, le nom du donateur: H. Le Senne. Au-dessus, un monogramme, indice de sa provenance. Or la seigneurie de la Motte passa, en 1474 dans la famille Le Senne et en 1537, dans la famille Brougnart. H. Le Senne, dont un parent, Jehan Le Senne, était prêtre, trésorier et chanoine de l’église Notre-Dame de Condé, dut faire cadeau du bénitier à l’église, à la fin du XV° siècle ou, dans la première moitié du XVI° siècle.


saints patrons
Comme c’est le cas de beaucoup de paroisses, la paroisse de Neufmaison vénère deux saints patrons : saint Martin et saint Charalampe.
saint Martin
Saint Martin, le saint patron qui a donné son nom à la paroisse de Neufmaison, est aussi appelé par les Églises d’Orient « saint Martin le Miséricordieux ». Il est né en Pannonie, l’actuelle Hongrie, sur les frontières de l’empire romain où son père était en garnison. A 15 ans, il devient soldat car la loi romaine obligeait les fils de soldats à s’enrôler dans l’armée. Il est muté en Gaule et c’est là, qu’à Amiens, il rencontre le pauvre grelottant à qui il donne la moitié de son manteau et dont il apprend durant la nuit que c’est le Christ qui lui a fait cette demande. Il hésitait à devenir chrétien, il s’y décide enfin. Il quitte l’armée pour rejoindre saint Hilaire à Poitiers. Avec lui, il fonde le premier monastère des Gaules, à Ligugé, en Poitou. C’est là qu’il sera « enlevé » par les habitants de Tours qui en font leur évêque. Mais l’ancien soldat devenu chrétien ne s’enfermera pas dans sa cité. Il évangélisera parcourant les campagnes jusqu’à sa mort, à Candes, sur les bords de Loire, en disant cette parole : « Seigneur, s’il le faut, garde-moi en vie, car je ne refuse pas le labeur ».
saint Charalampe
Neufmaison est aussi « célèbre » par le culte que non seulement ses citoyens mais aussi les gens de plusieurs communes voisines viennent y rendre à saint Charalampe, invoqué contré la peste et les maladies contagieuses. Seulement, la croyance populaire a quelque peu déformé les attributions de ce saint dans lequel on voit avant tout un protecteur des cultivateurs et surtout de leur bétail. Il est d’ai1leurs représenté debout, ayant à ses pieds un jeune bœuf couché. Comme chaque année donc, le premier dimanche du carême, commence la neuvaine de saint Charalampe.
Le premier jour est celui qui a été fixé par le pape Innocent XI pour la célébration de la fête de saint Charalampe à Wadelincourt. Pendant cette neuvaine, on voit arriver en grand nombre, tour à tour, les habitants de la commune en faveur desquels la messe de saint Charalampe est dite.
Ce saint porte un nom grec dérivé de « chara », la joie et « lampas », le flambeau, la lumière et qui signifie, donc joie et lumière. Il est invoqué contre la peste, tout comme les saint Sébastien, saint Adrien, saint Antoine, saint Roch, etc. , parce que, selon l’église, Jésus-Christ lui aurait promis que les lieux où ses reliques et sa mémoire seraient honorées, seraient préservés de ce terrible fléau.
La vie de saint Charalampe, écrite en grec, a été traduite en latin par Jean-David Henxtovius. Son martyre eut lieu à Antioche de Pisidie, le 10 février de l’an 202 de notre ère, la neuvième année du règne de l’empereur Septime Sévère. Nous donnerons ici un bref compte-rendu de sa légende qui ne laisse pas d’être, par endroits, très originale.
Son biographe nous parle d’abord de sa prédication, de ses miracles et de ses souffrances dans la ville de Magnèse de Pisidie. Vers 202 donc, Charalampe prêchait, dit-il, en Asie Mineure lorsque le préfet Lucian le fit comparaître devant son tribunal et lui ordonna de sacrifier aux dieux de Rome. Sur le refus du vieillard, les juges ordonnèrent qu’on lui arrachât ses habits ainsi que le signe sacré qui pendait à son cou ; puis les bourreaux, armés d’ongles de fer, voulurent le couvrir de plaies depuis le sommet de la tête jusqu’à l’extrémité des pieds. À ce moment, les pointes de fer se recourbèrent et le corps du saint resta intact, à la suite de quoi les bourreaux refusèrent de le frapper. Mais le duc Lucius se jeta avec violence sur le vieillard pour le battre et aussitôt ses deux mains se détachèrent de ses bras, restant fixées au corps de Charalampe.


Il tomba à terre, privé de ses mains et en proie à une grande colère ; cependant il voulut encore cracher au visage du prêtre mais sa tête se retourna sur son dos. Il ne fut guéri que par les prières du vieillard. À la suite de ces évènements, les habitants de Magnèse, dont Lucius, se seraient convertis en masse. L’auteur de l’ouvrage nous montre ensuite Charalampe rendant la vie à plusieurs morts et guérissant un grand nombre de malades. Une seconde partie nous raconte les tourments qui auraient été infligés à ce prêtre par ordre de l’empereur Sévère, auquel le préfet Lucian avait eu recours, et les miracles opérés par le saint en présence du monarque. Septime Sévère, qui restait profondément attaché à la vieille religion romaine, envoya trois cents soldats à Magnèse, avec ordre de traîner le vieillard de Magnèse à Antioche : ceux-ci enfoncèrent donc des clous dans tout son corps, attachèrent des liens à sa longue barbe et le firent traîner derrière eux. En cours de route se produisit le miracle du cheval : le biographe nous raconte que la bête qui tirait le prêtre ligoté se serait soudain tournée vers les soldats qui la conduisaient et leur aurait demandé pourquoi ils martyrisaient ainsi ce malheureux et saint homme. Dès qu’on fut arrivé à Antioche, on lui passa au travers du corps une broche en fer de 3 coudées environ et on le plaça sur un bûcher. Il en sortit sain et sauf. À la suite de cela, l’empereur ordonna de le délier pour qu’il répondit à ses questions. C’est alors qu’on apprit de lui qu’il avait 113 ans. Puis, il chassa le démon du corps d’un homme qui en était possédé depuis 35 jours. À l’intervention du préfet Crispus qui le traita de magicien, Charalampe subit de nouvelles tortures. Puis Sévère voulut le faire sacrifier aux divinités de sa patrie. Sa barbe fut brûlée mais les flammes du bûcher sur lequel on l’avait placé anéantirent 70 hommes. Soudain se déclencha un tremblement de terre : l’empereur et le préfet furent précipités en l’air. Le saint les délivra et, à la suite de cela, Galène, fille de Sévère, se serait convertie. Après cela, il aurait encore, par deux fois, renversé les dieux de la métropole et accompli d’autres miracles : il aurait notamment transformé en arbre un poteau desséché. Lorsqu’il fut mort, l’empereur ordonna qu’on lui tranchât la tête. Mais Jésus-Christ lui apparut, le ciel s’entrouvrit et saint Charalampe s’en alla y prendre place. Telle est l’étonnante histoire qui est racontée dans un manuscrit grec de la Bibliothèque nationale de Paris, dont la traduction latine fut imprimée pour la première fois à Lille en 1668. Saint Charalampe était resté pendant 1400 ans dans l’oubli.
Le mobilier de l'église
Les autels et retables, les deux confessionnaux, le banc de communion, les lambris et les stalles avec miséricordes (consoles sous les sièges) du chœur sont en chêne sculpté. Les lambris en style Louis XIV qui ornent entièrement l’église, datent de 1772. A droite dans l’entrée de l’église, une porte discrète dans les lambris s’ouvre sur les fonts baptismaux. C’est un joli cuveau en cuivre jaune avec couvercle accroché à un bras en fer forgé mobile. Il est logé dans une niche creusée dans la muraille. Un pupitre ou lutrin, deux ambons disposés de part et d’autre du chœur, un prie-Dieu complètent l’ensemble des meubles. Le chemin de croix actuel a été placé par le curé Lesplingard (1957-2007). Un encadrement en bois cruciforme constitue le support dans lequel sont sertis les quatorze motifs sur cuivre représentant les scènes de la Passion. Quelques tableaux sans valeur artistique décorent les autels de l’édifice : la Visitation, le Purgatoire. La peinture représentant saint Martin offrant son manteau à un pauvre surplombe l’autel dans le chœur. La statuette du saint Martin à cheval remplace celle qui a disparu le 8 octobre 1976. Touché par cet acte de vandalisme, Monsieur Louis Letocart, voisin à l’époque de la cure a proposé et réalisé la sculpture de la nouvelle statuette en bois. Il a offert l’œuvre à la paroisse.
Dans l’église, on relève encore les pièces suivantes :
deux crédences renaissance, modernes, en chêne et marbre Napoléon.
un fauteuil renaissance.
Sur le maître-autel :
quatre chandeliers droits renaissance, en cuivre, deux courbes et un christ de même.
Sur les autels latéraux :
deux chandeliers renaissance également en cuivre.
une lampe de sanctuaire et un seau à l’eau bénite, dans le même style.
trois encensoirs en cuivre dont un argenté avec navette et un autre, curieux par son originalité.
une croix de procession en cuivre argenté avec crucifix du XVIIIe siècle en style Louis XIV.
un calice en argent et un autre en vermeil.
un ciboire en argent, un ostensoir en vermeil, superbe, datant de 1650 environ.
deux reliquaires : en argent, en forme d’ostensoir ; l’autre en cuivre doré et en forme de tour (1669).
un huilier en argent, fait à Mons en 1760.
un coffre de fabrique en chêne, avec trois serrures.
Ajoutons que la paroisse possède les registres paroissiaux suivants :
baptêmes, mariages depuis 1719
décès depuis 1826
premières communions depuis 1840


Les épitaphes
Outre la pierre tombale du curé Pierre-Philippe Josse encastrée dans le mur extérieur de l’église, on retrouve à l’intérieur dans le dallage, quelques épitaphes dont certaines sont tellement usées qu’elles sont aujourd’hui pratiquement indéchiffrables.
Informations diverses
Pour compléter la description de la paroisse, il est intéressant d’ajouter ces informations extraites des rapports de la fabrique d’église.
En 1953, construction du nouveau cimetière.
En 1955, introduction du dossier de restauration totale de l’église.
Le 07/07/1957, l’administration communale réduit les travaux au clocher, à la peinture et au pavement. Le curé Vervoot propose la construction d’une grotte-chapelle en l’honneur de Notre Dame de Lourdes afin de commémorer le centenaire des apparitions de Lourdes (appel aux donateurs).
Le 08/11/1957, la grotte est réalisée grâce aux dons de 42 paroissiens pour un total de 14.500 francs.
Le 10/07/ 1960, le dossier « travaux » est rentré pour soumission.
Le 01/07/1968, la paroisse de Neufmaison du doyenné de Lens, est rattachée au doyenné de Chièvres (cf. la lettre envoyée par l’évêque de Tournai Charles-Marie Himmer du 15/03/1968.
Le 20/12/1970, bénédiction du nouvel orgue, remplacé fin août 1970 par M. le Vicaire Général Huard.
Le 01/07/1993, inauguration du coq et de la nouvelle croix du clocher.
BIBLIOGRAPHIE :
Neufmaison – Histoire d’une commune rurale – C. Masure et J. Rolland – 1936 Imprimerie V. Delzenne – Viseur

Fêtes paroissiale
La procession du 15 août
(Chapelles et calvaires de Neufmaison)
Depuis la nuit des temps, une procession parcourt le village. A l’heure actuelle, elle se déroule une seule fois par an. Elle commémore, le 15 août, l’Assomption. C’est l’occasion de s’arrêter près des chapelles et calvaires.
Neufmaison possède deux calvaires.
Le plus ancien date de1855 et a été érigé à la mémoire d’Isidore Quenesson, bourgmestre de 1825 à 1848. Si vous empruntez la rue Dumont, vous rencontrez un chemin pavé qui conduit à la Piedsente de Grosage. Vous voyez alors le calvaire bâti en briques, sa façade ouvragée est en pierres bleues ainsi que le soubassement. A sa droite s’élève un frêne. Deux bornes de pierre ronde soulignent l’entrée. L’édicule contient, derrière une grille un christ assis sur un rocher, les mains liées par une corde. Une inscription « Ecce Homo » désigne le Christ. Le monument est entretenu par la famille Delcroix.
Le second calvaire fut construit à la mémoire de Marie Célestine d’Antoing décédée le 29 juillet 1859. Il se trouve en face de l’entrée du château de la Motte, le long de la rue de Chièvres. De style renaissance, il est protégé par une grille. Il est construit en briques avec une façade en pierres et agrémenté de quatre colonnes, deux intérieures et deux extérieures. Le Christ en croix (I.N.R.I = Jesus Nazeremus Rex Judaerum) était flanqué de statuettes. Celles-ci ont disparu. Le monument est entretenu par la famille Olivier.
Outre ces calvaires, on remarque plusieurs chapelles :
Dans la façade de la maison n° 379, rue de Chièvres, la chapelle Notre Dame. Elle a donné son nom à l’arrêt de bus (n° 100) mais une statue du Sacré-Cœur s’y trouve.
La chapelle Saint-Hubert (ou chapelle aux Ifs) désignée sous le nom de l’évêque de Liège, mort en 727, dès le XVIIIe siècle. L’édicule a été rénové en 1992, elle est située dans le chemin parallèle à la rue de Chièvres. Elle donne son nom à la «promenade de la Chapelle aux Ifs».
La chapelle Saint-Laurent, martyr en Espagne (210-258) également rénovée en 1992, à la rue de Sglatignies (= châtaignier). Elle est entretenue par la famille Frébutte-Burelle. dans la même rue, la chapelle Saint-Guidon, protecteur du bétail. Il est fêté à Anderlecht le 12 septembre, date de sa mort en 1012.
A l’entrée du Hameau des Aulnois, la chapelle (édifiée en 1954) est dédiée à Notre Dame de Fatima, depuis le vol de la statue de Notre Dame de Confiance. La chapelle est entretenue par la famille Lenclud-Rivière et par Marcel D’Hoker.
Au n° 7 de la rue de Sglatignies, une petite chapelle Sainte-Thérèse (1929) dans une niche grillagée.
Au carrefour formé par la rue de Stambruges et la rue Dumont, la chapelle Notre Dame de Hal, érigée en1809 en souvenir du maître Joseph Meuret décédé à cette date. A présent, depuis le 13/10/1968, c’est la chapelle de Notre Dame de Bonsecours bénite (par Mgr.Samain) maintenue en état par A. Duchène.
Au chemin Dumont, une chapelle Notre Dame de la Paix (1939) reconstruite en 1991 et entretenue par la famille Buffart.
Dans l’entrée de la cour de la maison n°11, rue de Stambruges, la chapelle Saint-Antoine de Padoue. Après la démolition de la maison voisine, ayant appartenu à Georgina Mairie, la chapelle a été déplacée et reconstruite (vers 2001) par la famille Dumont Nadine.
paupertinae in tabernis aliqui pernoctant vinariis, non nulli velariis umbraculorum theatralium latent, quae Campanam imitatus lasciviam Catulus in aedilitate sua suspendit omnium primus; aut pugnaciter aleis certant turpi sono fragosis naribus introrsum reducto spiritu concrepantes; aut quod est studiorum omnium maximum ab ortu lucis ad vesperam sole fatiscunt vel pluviis, per minutias aurigarum equorumque praecipua vel delicta scrutantes.


La ducasse de juin & la ducasse d'octobre
Deux ducasses (= dédicace : fête catholique, date anniversaire de la consécration de l’église) sont organisées à Neufmaison.
La première a lieu le dimanche qui suit la fête de saint Jean-Baptiste, soit le 24 juin, date du solstice d’été. Mais pour ne pas perturber la fin de l’année scolaire, elle se déroule maintenant le premier dimanche de juillet.
La seconde ducasse a lieu aujourd’hui le premier dimanche d’octobre, au solstice d’automne. Annonce-t-elle la fête de saint Martin, le 11 novembre ? Sans doute. Autrefois, au Brun Culot, on se réjouissait à la ducasse de saint Martin (vers 315-397), le dimanche (proche) du 11 novembre.